mardi, janvier 16, 2007

le temps qui passe...

Et puisque encore aujourd’hui je n’avais rien à faire, un petit exercice d’écriture automatique

Je suis une erre sans nom je m’aventure sur un chemin désemparé ils cours vers moi comme si j’étais leur mère mais pourtant il n,en n’est rein je suis une erre sans nom et je m’aventure sur des terres désolées je suis abandonnée désemparée. Je joie de voir la souffrance des autre car elle me fait oublier la mienne et celle de millier d’autre femmes écorchées à vif dans leur chère ignoble il est ici pour m’emmener pour un crime que je n’ai commis et états de cause et c’est portant moi qui suis le fruit du fruit de mes entrailles indigne fille d’Adam et triste mère d’un jour toi qui suis la chèvre et le loup dans les buisson époustouflées d’une enfante à moitie nue et « dosorent » par le jour ou la nuit un indice de temps qui trompe le moment ou tu n’a pu apprivoiser le songe d’une nuit d’un jour d’une vie d’un réveil sans fin toi qui est sans main sans maison sans ami et qui cours sans fin sur une terre désolée qui ne l’est as que gère et frère tu te suis tu te rie de la morte car jamais tu ne te l’accordera trop accrochée aux choses matérielles d’une vie sans joie sans rire sans flamme et sans songe d’une terre désolée et toi qui est a la suite du nombre un et précédée de rien zéro oxymore et nymphe typhoïde toi pour qui il ne peut plus pleuvoir sur ta tête et sur celle de tes enfants que tu n’a jamais en tu est la île de rire et le retour de tout tu es catastrophique et l’éléphant sur son passage engendre trop de misère tu rie de moi pourquoi il est ci difficile de l’accepter et de rire ainsi de toi et de ta race je suis le verbe qui s’avance et toi tu te met sur mon chemin car tu est le gadin d’une route qui M’est interdite par choix tu ne peut pas proclamer un amoure et t’enfuir ensuite tu est si sauvage envers toi que le monde entier le saura que toi tu l’ignorera car tu y est le verbe d’une mort sans nom et sans visage tu te rie de moi et de toi car le visage que tu montra na pas de nom pas d’age pas de fin ni de début tu t’aventure sur des terres inconnus sans te soucier de ta sécurité ni même de celle des autre car tu est le chat vert sur un toi d’albâtre et tu te rie de moi comme je me rie de toi tu es le verbe d’un jours passé qui jamais ne reviendra pourquoi t’aventure tu aisi en ce jour sur cette terre désolée non tu ne peut te mouvoir parmi les vers de la terre et de l’esprit mais qui encombre le jour on je suis parue sure cette terre sans nom toi ignoble qui passe et repasse dans la tête d’un monstre du nom de Belzébuth tu est le rire que je pose sortant d’une gorge agglutinées de sang et de torpeur tu va où je ne vais tu mange ce que je ne mange tu lis je que je ne lis différent et identiques moi je voudrais être toi toi moi et ainsi de suite pourquoi les gens ne sont si insensible au mal que parce que moi je suis la et toi la pourquoi il ne peu y avoir de rédemption pour une âme tel que moi et toi ainsi nous somme deux a nous mouvoir parmi les vers de la terre et de la terre a la lune il ne peut y avoir de rédemption que pour une seul la âme la mienne ou la tienne de qui il n’est question ici en ce bas monde de chère et de sang toi qui passe et repasse sans cesse da ma tête tu es le jour de jours toi toit toi moi qui suis n’arrête pas de ma harceler ainsi car ton pacte avec le mien son lié a jamais pour ne plus se séparer quitte moi et c’est moi qui te quitterai meurt et moi je resterai là a t’attendre a jamais un jour une nuit une vie peu importe les moment que l’on passe ne repasse que dans notre esprit et nous pouvons aisi les revire a l’infini d’un montent a un autre pour toujours et a jamais.

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