Il était tard, et comme a mon ordinaire je n’arrivais pas a me décider a aller rejoindre les bras de Morphée. J’ai donc décidé de me livré a une technique d’écriture automatique qu’on m’avais suggéré (pour ceux qu’il ne le savent pas, l’écriture automatique est en fait un dégeuli de mots non pensé qui, un foi relus et analysés, peuvent en révéler beaucoup sure les tréfonds de son âmes … A une certain, ne époques, remercions nos chères Dadaïstes, il s’agissait même d’une forme de poème.)
La technique en elle-même consiste à simplement s’installer devant son ordinateur et écrire tout ce quoi nous passe par la tête sans vraiment y réfléchir, se laisser aller compétemment sans aucune censure. Je vous propose de tenter l’expérience car c’est libérateurs et effectivement très révélateur ....
Je vous présente un échantillon des entrailles grouillantes de mon cerveau :
Ne me regarde pas je suis lasse lasse d’écouter lasse d’être lasse de jouer les jours qui s’écoulent sans fin à remonte temps il son trop et mon âme ne peut plus les supporter dans ma sève il y a un grand cri cris qui annonce l’orage la fin d’un temps et j’ignore s’il y en aura un autre pour le suivre il est si lasse si désemparé qu’il ne peut plus apprivoiser les cour des jour le cours des nuits qui s’achèvent il n’est pas temps de regarder vers le passer ni vers le future d’ailleurs il n’est de temps que pour être et respirer moi je ne peut plus respirer je ne peut plus espérer il n’est de temps pour moi que pour être ou pas et c’est ainsi que s’achève le parchemin des jours passer se n’est qu’en regardent le passer qu’on peut avancer mais moi je stagne stagne stagne non n’accepte pas de refuser se qui t’est donner car en aucun cas aucun temps on ne te le rendra ne fait que constater des erreurs passées et présentes du future du passer en un jours de fin qui passe et repasse sans sèce mon être est transi de froid et je n’acceptes pas de la regarder se flétrir en ce jour divin que j’espère être la nuit des fin et du passer des jours jours jours jours d’hier s’envoler pour n’espère jamais revenir ne le regarde ne soi ni jalouse ni triste le passé remercie le présent et il ne peut pas le constater sans le voire dis-je non ce n’est que le présent ou le passer il n’est pas et ne sera jamais il est triste et désemparer il ne joue ni a la marelle ni a des jeux vidéos il n’est que simplement et purement pourtant il n’y a aucune purée en ces mots il ne fait que voler ou être voler il ne peut accepter le jour passé ou présent je flotte sur un flot incertaine transie dis-je non non non non non ce n’est rien rien que le futur passer d’un verbe trop souvent oublier il n’est que si je l’accepte et le juge possible et regarde dans sa direction car en ce jour funeste la rage d’une vie oublier et non vécue, avortée, ne peut calculer les perte présentes d’un moment accepte que ce que je peut concevoir cela m’est impossible de regarde de voir s’il est ou sera la en ma sève il vi et joue jouer jouer et rire innocemment comme le font les enfants en ce jours funeste funeste dis-je non ne ne ne vie et perdue a la foi regarde les erreurs du passer et acceptes les ou meurt sombre dans l’abysse d’un songe oublie au réveil il n’est que trop tôt pour espéré les regrets d’un futur passer trop proche pour ne pouvoir l’atteindre mais pourtant resté hors de porté de la main qui se tendais ver lui qui est si triste de constater la défaites des âmes esseulées non il ne peut vivre et respirer sans ne regarde ver le passer des jour a trouver des jours qui reste et qui s’écoulent sans rien dire sans rien demander sa rien espérer il ne volera plus jamais le bateau de papier, le fétus de paille qu’on jeter au feu et qui est rester en cet instant présent le seul témoin de notre résistance si futile soit elle il ne regarderas ver le future et il ne le changeras pas même sous peine d’une mort imminente ses yeux sont du sang et t’en repait sans vergogne tu bois a sa source et tu t’en réjouit pendent que moi qui suis toi je pleure toute la tristesse qu’un cœur on peut receler sans jamais ne déroger sans jamais en espéré D’autre que toi toi quoi est si frigide ame égaré je ne serais plus bientôt et tu n’aura rien pu y faire mon amante je t’aime plus que tu ne peut le croire et tu t’en est aperçue et a su l’ignorer banalement tu est si triste que j’en pleure moi aussi et c’est ainsi que se termines les jours que nous avons commencer ensemble et finissons ensemble mon amie mon ami je t’aime et mon âme aussi même si transie de sangs elle se dirige vers toi d’un pas décidée pour enfin reculer pour enfin s’essouffler puis enfin mourir.
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